vendredi 30 octobre 2009

Je reviens d'une épatante mission, mener pour vous amis. En effet je reviens de dévêtir ma combinaison pour la mettre à sécher, et prend désormais mon computer pour raconter ce que malheuresement je viens de voir lors de ma projection futuriste an l'an 2011.

Pardonnez mon émotion dans ces mots mais vous comprendrez tous, que se trouver en lieu et place du suicide horrible d'un homme tel que celui ci, eh bien on en reste pantois.

C'est un soir de décembre que je l'ai rencontré au café "chez Maria" a Turin. Il pleuvais des cordes, et la nuit sans étoile était mordante de ce froid Italien que personne ne connait.

Il mangeait quelques olives, met qui pour lui tournait au pêché mignon. Son addiction le forçait même selon ses dires à en avoir toujours un sachet dans la fausse poche de sa veste. Il avait l'air d'avoir sérieusement abbusé du Martini. Sa tête était déconfite. Des cernes a faire du skateboard en leur creux, et une barbe de trois jours drue comme son coeur. Dans des larmes d'alcool et de mal être il s'est confié à moi.

"Je me fiche pas mal moi d'être devenu un poivrot dégeu, je suis rinsé mec, ouais torché comme un idalggo, un vrai ptain... il cri la commande d'un autre Martini à Maria

Non mais sérieux je me suis cassé le bonnet à faire du journalisme comme un professionnel, couvrant chaque respiration importante de ce Pays en forme de botte à la con. Et voilà comme on le remercie le Maurice. A grand coup de trique dans la tronche, des enfoirés a TF1, jte le dis.

De toute façon je vais me faire sauter la caisse, je suis fini. Personne ne m'a jamais laissé ma chance d'être un vrai Italien. Olivari c'est quoi, chié de cul si pas Italien, ça sonne pas Danois merde.

J'ai jamais eu que des critiques, et des mauvais mots je suis l'incompris du journalisme, le renégat de la pizza.

Je rentre même pas a l'hotêl j'ai filé les clés du vespa à un fan de la Juventus."

A ce moment là, précisément ou un peu de salive agglutinée aux commissures de ses lèvres partait pour se faire la malle sur le zinc du bar, il se racommoda, fini son Martini d'un trait et s'enfila la dizaine d'olives dans le gosier. Fatal...

La cravate sur le côté et le front ruisselant des marées de chaleure épaisse de mélancolie, il s'étouffa, mais dans une dérnière bafouille il me dit à l'oreille:

"J'ai couché dans une soirée déguisée avec le beau Sylvio, à Venise j'étais habillé en LOLO BRIGIDA"....




Vous conviendrez de la tristesse de la scène, voir ce Monsieur du PAF se répandre agonnisant d'un exces d'olives, c'est bien moche.

Je repense à tous ces détracteurs qui pendant les deux prochaines années à venir ne vont cesser de le descendre en lui balançant d'horribles sobriquets et reproches multiples sur sa tenue, ses incroyables coup de colère, ou sa voix érraillé de castafiore barriton, profitez du peu de temps qui vous reste pour savoir l'apprécier à 13h00 ou 20h00 à l'apérétif avec vos Martini et vos olives.

(J'ai trouvé ces coupures de presse dans sa veste, voilà parfaitement l'exemple que ce que le pauvre homme à subi toute sa carrière alors qu'ils savait se donner à fond dans les reportages, les plus ennuyeux parfois, corps et âme dans son boulot. Chapeau MOMO je t'aimais bien.)

Dr FLO


Posté le 05/10/2009 à 21:53
Juste un petit coup de gueule sur le manque flagrant d'impartialité et de mépris que démontre pour la énième fois le journaliste permanent en Italie Maurice Olivari sur TF1. Le dernier reportage en date, celui du lundi 3 octobre montrait un entrainement grandeur nature des services concernés (ambulance, docteurs, police, pompiers etc...) par un éventuel attentat dans le metro de Milan. Avec en prime maquillage pour faire plus "vrai" et démonstration d'interventions du RAID local.Bien sur que tout ceci était pour de faux mais en France on a fait la meme chose il n'y a pas longtemps et aucun journaliste n'a traité ces excercices de "parodies" ou de "simulacres" ou de "comédies" avec toute la condescendence que caractérise le "frenchie" moyen à l'étranger... Le ton utilisé par Maurice Olivari est vraiment detestable à la longue et traduit une véritable hypocrisie ou rancoeur envers le pays qui l'acceuille et après tout s'il est pas content il n'a qu'à partir.


Ah, contente. Ca fait quelque temps que ce journaliste m'irrite avec sa façon de parler de l'Italie et de ce qui s'y passe comme si rien n'était sérieux dans ce pays et les italiens des rigolos.Je me demandais si je me faisais des idées. Pourtant, avec son nom, il doit en être originaire.